Complément d’information à propos de Gestion multi-comptes sur Instagram, Facebook, et TikTok
L’arrivée d’Internet, il y a quelques années, a généré un avant et un après dans les différentes civilisations, principalement parce qu’elle a ouvert la direction à un nouveau moyen de communication entre des personnes qui n’avaient pas toujours besoin d’être dans la même pièce. Par exemple, avec des e-mails, des pages web Web ou des forums. L’interaction entre a commencé à gagner, petit à petit, de plus en plus de puissance, éliminant – parmi d’autres choses choses – plusieurs frontières culturelles ou linguistiques. Une véritable bataille pour le pouvoir qui a motivé beaucoup avancées modernes. Parmi eux, les États-Unis ont créé l’ Advanced Research Projects Agency ( ARPA ) qui, une décennie plus tard, a posé les piliers de ce que l’on appellera Internet, puisque son réseau ARPANET permettait l’échange de références entre institutions. Et comment pourrait-il en être autrement, dans l’œuvre précédent, des réseaux sociaux ont également émergé, dont la qualité réside fondamentalement dans la possibilité qu’ils offrent aux utilisateurs de communiquer avec les autres, de manière entièrement immédiate, à travers des espaces virtuels, peu importe où ils se trouvent sur la planète.
la présence de ces nouveaux « influenceurs » dans la taille public se caractérise simplement par la popularité des émissions de téléréalité et par l’intérêt qu’ont monsieur et madame Tout-le-monde à poursuivre à suivre les participants en dehors du petit écran, après leurs aventures. Ayant centralisé l’intérêt de dizaines et souvent de centaines de dizaines de milliers de personnes sur leur profil en ligne, ces « toutes nouvelles vedettes » peuvent ensuite utiliser leurs plateformes de social medias pour intervenir avec une large communauté. Au-delà de l’interaction organique, l’influenceur peut choisir de monétiser son nouveau pouvoir, soit son influence, auprès du public qui le suit en acceptant des collaborations rémunérées pour réaliser du contenu ou passer certains messages publicitaires. il existe bien sûr plusieurs types d’influenceurs, dont la pertinence varie clairement selon de nombreux critères : leur métier d’origine, l’excentricité dans la conception de leur contenu, le ton et le rythme employés, la fréquence des publications, les catégories de conversation entretenue avec la communauté, la sélection des collaborations selon les intérêts, les valeurs et l’expertise de l’influenceur et de sa communauté, etc. Après les déboires de certains, c’est l’occasion de se questionner. Comment bien sélectionner ce qu’on consomme ? Pourquoi encourager certains contenus ? Et surtout de choisir : à qui souhaitons-nous donner la parole sur nos plateformes sociales ? Qu’on les adore ou non, les réseaux sociaux sont là pour de bon et le concept de l’influence aussi, alors participons-y positivement et activement pour en faire un lieu enrichissant, vraiment prenant et bienveillant pour tous.
En pleine campagne présidentielle aux USA, il part à la « découverte des gens » en en fonction de un groupe de 600 électeurs du comté d’Erié dans l’Ohio. Durant cette enquête, il démontre que le vote n’est pas seulement un choix individuel mais qu’il existe des variables liées au… réseau social de l’individu. On découvre que les réseaux amicaux et les milieux familiaux sont globalement homogènes dans leurs choix politiques. Pour la première fois sont évoqués les opinion leaders dans une théorie de l’influence interpersonnelle. Leurs particularités seraient une forte sensibilisation aux réseaux et une possibilité de reformulation des enjeux vues dans les partenariats quotidiens. Ils ont donc un rôle d’intermédiaire, de facilitateur, de relais. Un pas est dès lors franchi dans l’étude des réseaux : la visibilité n’est pas unidirectionnelle et directe vers un récepteur passif, elle est à deux étages et se déroule en deux temps, via des relais d’information ( the two-step flow of communication ). Puis dans Personal Influence proposé en 1955, il en ressortira que les relations interpersonnelles sont supérieures aux réseaux dans les actes de décision. En somme, les théories de la seringue hypodermique et de médias ultra-puissants deviennent obsolètes. Les effets des réseaux sont indirects et limités par les possibilités d’analyse des personnes et leur réseau social.
Quand est né le terme influenceur ? Même si ce mot a fait son apparition récemment, ce phénomène est loin d’être nouveau. Par exemple, toutes les stars qui ont pris part à des campagnes publicitaires sont aussi des influenceurs. Pour être précis, c’est Paul Lazarsfeld, un sociologue américain, qui, en 1940, développe le concept d’influenceur. de plus Quand Devient-on influenceur ? Du coup, quand est-on influenceuse ? Si vous avez bien suivi mon paragraphe précédent, vous êtes normalement en mesure d’apporter une réponse par vous-même à cette question : on devient influenceur, au sens marketing, lorsqu’on est suivi par une communauté de personne suffisamment importante pour intéresser une marque. Le marketing d’influence est un mixe d’anciens et de nouveaux outils de marketing. Il prend l’idée de l’approbation des célébrités et la place dans une campagne marketing moderne axée sur le contenu. Dans le marketing d’influence les résultats de la campagne sont des collaborations entre marques et influenceurs. Le marketing d’influence n’implique pas uniquement des célébrités. Il tourne autour d’influenceurs, dont beaucoup ne se considèrent pas comme célèbres en dehors de leurs réseaux sociaux. de nos jours, le marketing d’influence est devient primordial dans la dimension stratégique des marques. Comme Scott Cook, PDG d’Intuit, a déclaré à plusieurs reprises : «Une marque n’est plus ce que nous disons à l’automobiliste, c’est ce que les visiteurs se disent».
Un réseau social c’est un système de communication qui permet par le net, de démultiplier ses prospects de façon sélective, d’entrer en relation avec des personnes qui vous pourraient être inconnues ou inaccessibles sans cette plateforme relationnelle, d’échanger des idées, des témoignages, des informations, à travers les « hubs » ( forum de discussions ), de se faire connaître et repérer, de chercher des opportunités notamment d’emploi ou d’affaires… Ils aident à renouer des prospects, pratiques professionnellement, avec d’anciennes relations ( d’études, de stages, de milieux professionnels, d’amis ) mais aussi d’enrichir son carnet d’adresses. Ce réseau vous permet d’accéder aux 75 % des offres du « marché dissimulé » du marché du travail et d’accéder à des informations que vous n’auriez pas pu avoir ou à des personnes que vous n’auriez pas pu joindre sans cet outil. Ils peuvent aussi être utilisé pour se renseigner sur un emploi, une entreprise, son futur hiérarchique afin de bien préparer son entretien professionnel. D’ailleurs la pratique du réseautage est une véritable pratique d’intelligence économe qu’utilisent de plus en plus les recruteurs et « chasseurs de tête » mais aussi directement les services recrutement des sociétés. il convient de être clair et complet sur son profil et sur ses objectifs et les tenir à jour pour que son réseau soit efficace, il faut l’animer et échanger pour le faire vivre, donner des informations utiles, vrais, pertinentes pour en recevoir d’identiques, faire le choix de la qualité des prospects plutôt que de le nombre ( consommatrice de temps elle peut nuire « gravement » à l’efficacité ), sur un réseau professionnel ne pas oublier de rester professionnel, faire de la virtualité des échanges un moyen pour entrer dans la réalité des rencontres y compris en utilisant le android ( mobile bien entendu ), ne pas vouloir être présent sur tous les sites mais cibler selon ses objectifs, et pour finir, ne pas oublier le bon vieux base de politesse ( remercier, encourager, féliciter… ) …
1. sept milliard de personnes emploient au minimum un réseau social dans le monde, dont 31 centaines de milliers en France. Pour les entreprises, les réseaux sociaux sont une formidable occasion pour se rendre visible du bout de la rue jusqu’au bout du monde. Ils permettent de gagner de nouveaux clients, de fidéliser, de communiquer autrement avec sa communauté ou tout simplement de récolter des données. Bien utilisé, le retour sur investissement d’un réseau social est exponentiel ; d’autant que leurs campagnes publicitaires ne coûtent pas à coup sûr assez cher. Mal employés, par contre, l’effet peut être quasi nul, voire négatif ou ultra négatif en cas de bad buzz, ruinant la notoriété d’une entreprise en moins de 10 secondes. En bref, les réseaux sociaux servent plus à raconter son entreprise qu’à faire connaitre en direct ; à exprimer ses valeurs, sa vision… Le story telling, le suspense, l’effet teaser…Ces modes de communication permettent de développer une communauté de prospects adeptes de vos valeurs, de déterminer les ambassadeurs les plus aptes à les donner, mais aussi à communiquer autrement avec votre clientèle, non pas en format informatif et descendant, mais en format communautaire, basé sur l’échange et la prise en compte instantanée des suggestions et critiques pour pouvoir améliorer votre offre. Les réseaux sociaux servent à ça, car ils sont construits en ce sens ; sur un modèle de communication communautaire.
Texte de référence à propos de Gestion multi-comptes sur Instagram, Facebook, et TikTok