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l n’est pas évident d’évaluer la notion de notoriété : quels sont les fondements du succès ? à partir de quel niveau de médiatisation peut-on être perçu comme une « star » ? D’autant plus que la popularité en tant qu’objet d’étude recouvre plusieurs dimensions. Il est ainsi difficile de savoir quels facteurs sont déterminants dans l’apparition d’un malaise chez une personne célèbre : est-ce le trop plein d’attention sociale ? l’ampleur des délicats négatives ? l’obligation de « se tapir » forcément pour s’y soustraire aux fans ? l’alternance de résultats assourdissant et de situations plus zen ?
Notre comportement est souvent influencé par des protagonistes de bar, sportsman à la pointe, musiciens ou hommes politiques… Ce n’a rien à nouveau et semble être éternel via les masse, continents ou différentes périodes de l’histoire. Pourquoi ? Il il n’y en a pas encore de réponse logement implantée dorénavant même si cela “culte de la célébrité” déclenche des comportements vraisemblablement irrationnels. Par exemple, il n’est pas facile de comprendre pourquoi une personne est prêt à dépenser des sommes astronomiques pour choisir des marchandises aussi communs qu’une mandoline, un cartone ou même un pecten, si ces objets ont été à une personne connu. Presque $1, 000, 000 pour les rassemblement de golf de John franc. Kennedy ou $400, 000 pour son emplacement à bascule ? Un temps de de la chansonnière Britney Spears vendu sur Ebay pour $14, 000 !
Les entreprises d’assurance rendaient son embauchage économiquement excessif : l’acteur, à la renommée apathique, risquait de replonger à tout moment. Happy ending : depuis huit ans, sa sobriété superlative n’égale que ses succès au box-office. Mais on attend toujours le come-back professionnel de Lindsay Lohan… « Nombre de mes patients, acteurs et stars, m’ont été adressés par leurs producteurs, parce qu’ils n’étaient plus en état de leur faire gagner des fonds », regarde Marie-Dorée Delachair. Cette physionomiste franco-américaine, professionnel des addictions, a pratiqué 10 ans à Los Angeles. « J’intervenais pour livrer des clients, le plus souvent accros à la sniff, en cure de désintoxication. » Elle s’est même retrouvée médiatrice sur un plateau de prise de vues. « Une famille dysfonctionnel comme les autres, analyse-t-elle. J’ai dû adoucir les luttes d’avoir la possibilité d’, les réunir à leur projet commun. » Déontologiquement, Marie-Dorée est tenue de préserver l’anonymat de ses malades. Hollywood apprécie la furtivité.
Devenir connu est un désir quasi incontournable à toujours. Ce phénomène existe depuis des générations et peut être vu de différents angles. Effectivement, pourquoi les jeunes rêvent-ils de devenir connues un jour ? Voilà le sujet à se poser ! Diverses raisons telles une recherche d’identité, la concrétisation éventuelle d’un rêve et les de ce statu auguste répondent à cela questionnement. tout d’abord, les encore jeunes rêvent de se faire connaître nettement pour contenter un désir qu’ils chérissent, restauré par une recherche d’identité, ou en d’autres mots, par le souhait de se faire recouvrer d’une différente manière par les gens qui les entourent. Ainsi, devenir connu offre aisément accès à la solution de se refaire une marque identitaire et permet de équiper à ce libido de longue date.
Tous n’ont pas le même souci. La réputation rime fréquemment avec un niveau qui permet toutes les copulations. La fête d’abord ponctuelle devient , jusqu’à n’être plus du tout synonyme d’amusement. Whitney Houston fait partie de ces stars qui, en haut de leur célébrité, ont pris goût à la remède, et ont vu leur carrière, ou alors leur vie dissolue dans la chimie de leurs mélanges. Et puis il y a ceux qui malgré un équilibre apparent, n’ont plus eu la force d’endurer les revers de la gloire. Vies traquées, collègues intéressées, perturbées, union violée, ils s’appelaient Dalida, Marilyn Monroe, Robin Williams ou bien Heath Ledger, et la célébrité a démesuré leur sensibilité et spécificité, la rendant ignoble, compte, ne leur proposant plus qu’une porte de sortie, enfoncer
Il estime que quelques scénarios «pré-établis», comme les destruction d’ascension sociale parfaite, déclenchent une réaction passionnelle parce qu’ils sont engagés dans nos cerveaux. Si l’on observe les dérangement de stars, celles qui défraient le plus la fable correspondent souvent à l’une ou l’autre de ces structures de base. Prenez la agonie de Charlie Sheen, par exemple : c’est l’histoire typique du «mauvais garçon» –qui se renouvelle souvent à la fouille de rédemption, sur le progressions du «Fils prodigue».
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