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La crucifix c’est sans aucun doute le empreinte identitaire médiéval le plus utilisé dans l’histoire de l’humanité. Elle est aussi bien présente dans le Christianisme que dans certaines organisations mystiques. Sa présence en un lieu traduit la véracité d’un espace caché, d’une église, d’une cathédrale… On peut également la acheter à l’entrée des cimetières, sur les tombeaux de nos disparus ou sur le corps des personnes qui en on accomplie un signe de prestance. Bien que sa signification dans le christianisme se réfère à la crucifiement de Jésus Christ, ce personnalisation n’a été raconte dans le Église que trois siècles après sa mort. Rappelons avant de poursuivre que la crucifix ne nait pas avec le christianisme encore moins avec le coté macabre de Jésus Christ.
L’ânkh, ou crucifix ansée, est la crucifix de vie des Égyptiens. Elle concorde au manuscrit qui veut dire “vie”. Elle est souvent présente vie dans la main des dieux. L’ânkh, empreinte identitaire important de l’Egypte primitive, peut être vu comme l’union des règles mousse et féminin. Déjà présente au préhistoire, la croix solaire est devenue un personnalisation celtique, puis un marque identitaire catholique dans les archipel britanniques. C’est une simple crucifix inscrite dans un club, négociant le dieu soleil, éternelle, ou bien l’élaboration astral ( le centre incalculable et du monde déployé ).
Retenons une instruction première entre les pays de l’être et de l’Existence. Les états de l’Existence, même universelle, relèvent de la seule aura. Les états de l’être, en contrepartie , appartiennent tant au manifesté qu’au non manifesté. En effet, l’Être pur, Principe de la dérivation, est non manifesté. L’axe perpendiculaire donne l’indéfinité des états d’être ou d’Existence depuis les états mentals ou bons les plus prohibitifs jusqu’aux états physiques ou terrestres les plus manifestes. Cette échelon d’états se répartit en trois ordres, tant au niveau du monde ( physique/corporel, psychique/subtil et spirituel ) que du monde ( terrestre, stratosphérique et parfaite ).
Le pontife François remet au cœur de notre cran la tâche de l’homme, soit celle de m’introduire dans la «mystique du vivre ensemble», véritable justification de notre vie sur Terre. L’Église explore aujourd’hui tous les moyens de rédiger un prenant, dans l’écoute, le dialogue, l’accompagnement. Nous devons agripper les valeurs chrétiennes, qui excluent l’exclusion. Nous avons moins besoin de calvaire que de croyants qui savent rendre compte du sens de la Croix dans leur vie. Sachons être des «fervents de la vraie foi» habités de la présence de l’amour céleste. Voilà le vrai sens qu’est commencement fournir la Croix !
A l’entrée de la commune, au torture est plantée une Croix en bois portant un homme couronné d’épines avec une enregistrement déchiffrée par tous « Jésus de Nazareth, le Roi des juifs ». Dans cela drame du mont torture se joue le salut du monde. Dieu a fiancé à nos ancêtres de finir avec la maison d’Israël et le domicile de Juda ( ces maisons divisées ) une seule et particulière fusion nouvelle et éternelle qui sera sans retour inscrite, gravée dans la souvenance et le coeur du peuple tout complet. En effet, cette mélange nouvelle et éternelle scellée sur le bois de la Croix est la l’ensemble dérivation, la divulgation de l’amour de Dieu. Ce Dieu qui a tellement aimé le monde qu’il lui a proposé son fils particulière comme bienfaisant. Souvenez-vous que le bon fraudeur l’a bien connu et le centurion l’a confessé : « Vraiment celui-ci était ce émancipateur »
Si sa forme s’est élargi au cour du temps, le chrisme est constitué dès le début de l’alliance de deux lettres du attique antique superposées. La 1ere se rapproche à un X ( chi ), tandis que la deuxième ressemble d’un P ( rhô ). De cette réunion résulte un personnalisation qui se présente comme une planète à six fours branches dont la secteur souveraine aurait été ornée d’une ondulation. Plus tard, le chrisme s’est abrégé jusqu’à devenir une simple soleil inscrite sur un clan : on parle alors d’une roue à six fours branches, identité de l’unité et du lien établi par les grandes convictions entre les exubérants et le religieux. Au fait, pourquoi parle-t-on souvent de « sceau du Christ » ? Les deux lettres qui forment le chrisme sont les mieux du mot athénien Khristos qui désigne fils de david. En grec, le terme désigne littéralement ce qui est gothique et ce qui a recueilli l’onction. Il offrira lumière au terme christus en voile latine, qui proposera à son tour Christ en français moderne. Dans l’est de l’Europe, le chrisme est souvent représenté sur une sortie enrichie des deux lettres alpha et oméga ( première et ultime lettre de l’alphabet athénien ) qui représentent le début et la fin. On comprend donc pourquoi le chrisme est un marque identitaire paroissien de premier plan : sa présence convoque d’emblée celle du Christ et confère un caractère sacré à celui ou celui qui le porte.
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