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Poursuivons notre rang de contenus textuels sur les critères de la fabrique célèbre japonaise. Après les 10 émissions tv d’animation asiatique obligatoires et les 8 émissions tv japonais qu’il faut avoir diffusés, place aux manga papier. Ce genre asiatique fondateur, dont les accents modernes datent essentiellement au niveau des années 1950, n’a été importé en France qu’à la fin des années 1980 / départ des années 1990. Depuis, des centaines de émissions tv ont été traduites, mais peu de titres ont laissé leur trace dans l’histoire ( voir l’article Le atrophie du software power asiatique ). J’ai par conséquent décidé de vous présenter huit conte chocs de manga qui me paraissent avoir marqué le genre éternel- lement.En 1946, le soliel levant se reconstruit après les ravages de la guerre… Une étape où les américains délayé leur exploitation à travers leur domination et influencent extrêmement les fabrications de cet étape. En effet, les yonkoma ( ces fameux manga en « 4 compartiment » ) sont un assise des remarquable bande dessinée strip : Garfield ( 1987 ) ou encore Snoopy ( 1950 ), en sont des photos. S’ils voient leur aube dans la presse, certains créateurs en ont fait des mangas : Sazae-San ( 1946 ) de Machiko Hasegawa plus partie. Bien qu’humoristique, Sazae-San relate le quotidien d’une famille japonaise banale après les événements de la deuxième Guerre Mondiale, appliquant un contexte culturellement intéressant, pour une chronique distribuée sur 45 tome.Commençons par les Kodomo, il s’agit de mangas qui a pour destin à un très jeune public, les peintures y sont en général plutôt franches. Ce sont des rupture truffées d’aventures, avec de juvéniles protagonistes et leurs bandes d’amis. Il n’y a pas impérativement d’antagoniste, on n’y introduit pas automatiquement de nouveaux thèmes très sombres non plus. On reste sur du « bonhomme » et les histoires se sont à la fin en permanence par un heureux end. Je suis sûre que tout le monde ici en a déjà vu au minimum un et a grandi avec. Au bonheur, y en a-t-il ici qui connaissent Pokémon ? Parmi d’autres grands noms de ce style nous devons aussi parler : Hamtaro, Keroro, Doraemon, Chi – une vie de chat, Magical Doremi, Yo-kai Watch, Astroboy, Digimon ou Beyblade. Notez que je ne me limite pas toujours au papier « manga », mais que j’y renferment également parfaitement des animés rigoureux.Après la guerre 39-45 et sous l’impulsion de l’occupation étasunienne, l’influence des comic strip-tease, de courtes bande-dessinées ( ben 10, Flash Gordon, Garfield… ), se fait goûter. Cette impact nord-américaine dure toute son cubage avec le père du manga moderne, transporté admirateur de Walt Disney et considéré sous prétexte que le ‘ dieu du manga ‘, Osamu Tezuka. Son héritage : plus de 700 réalisations et une foule de élève parmi les mangakas actuels. Tezuka réinvente la façon de réparer le manga en suivant du restaurant et particulièrement des imposant plans ou des travelling. Il introduit à ce titre les onomatopées dans les bulles. Parmi ses créations artistiques dominantes, précisons Shin-Takarajima, ‘ La nouvelle des gentils au phénomène ‘ et Tetsuwan Atom, ‘ Astro, le petit distributeur ‘ qu’il adaptera en mouvant pour une série télé en 1963. A partir de cette date, l’adaptation à le poste de télé de mangas deviendra un la vérité de masse. Grand inspirateur de l’univers du manga, Tezuka comptera pour ses postérité Fujio Akatsuka, Takao Saitō ( Golgo 13 ), Yumiko Igarashi et Kyoko Mizuki ( Candy )…En effet prenons par exemple le manga Doraimon ainsi qu’un autre manga très utilisé chez nous par sa élégance télé : Hamtaro. Ces deux mangas ne sont résolument pas adressé à un public adolescent auparavant lieu qui trouvera ces détraquement trop gamin avec plus ou moins de assaut pour les garçonnets et plus ou moins de chanson pour les filles ce ne sont à ce titre ni des shonens ni des shojos. Mais ils ne sont pas d’ailleurs adressés à un public très ou déjà porno, ces deux mangas ne sont à ce titre pas d’ailleurs des seinens. Voici l’une des nombreuses limites de ces trois modes : ils n’englobent pas tout les mangas car quelques sont trop peu créés en France. Pour Doraimon et Hamtaro le mot juste est Komodo qui veut dire bebe. Il n’existe pas de distinction de baise pour ces jeunes lecteurs et lectrices car les petits ont généralement les même goûts. Les chambardement révèlent sont d’un ton joyeux a l’inverse des catégories pour très jeunes qui peuvent avoir des temps seulement très tristes avec le coté macabre ou la perfidies.Mars 1990, les éditions Glénat choisi de publier Akira de Katsuhiro Otomo. Pour la 1ère fois, le public français fait partie du manga et se passionne pour les aventures de Kaneda et ses amis de motards. le courant est lancé et ne va finir de se démocratiser. Glénat exploite le emploi au maximum et publie niveau Dragon Ball d’Akira Toriyama ( 1993 ) et Ranma ½ de Rumiko Takahashi ( 1994 ). Suivront par la suite Crying Freeman, dr Slump, Gunnm ou Sailor Moon. Dès 1995, la concurrence s?éveille et des chaumières d’édition vu que Casterman ( Gon, L’homme qui marche ), Dargaud et sa compilation Kana ( Angel Dick ) et Samouraï Editions publient des mangas. Du milieu des années 90 au début des années 2000, l’essor est considérable et les postes annuelles passent de 150 en 2001 à près de 270 trois ans un autre moment. Le phénomène est nettement lancé et ne ralentira plus.
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